Il faut
Le Christ défiguré de l’église de Borja, commis par une octogénaire espagnole qui a allègrement hérissé la chevelure aux allures de pelage de singe, cerclé grossièrement les yeux de noir et la bouche de contours flous, est en passe de devenir une icône moderne. Outre son droit à l’image pour la reproduction sur des bouteilles de vin, tasses, t-shirts, etc, la responsable du forfait touche une part des recettes laissées par des visiteurs (57.000 jusqu’ici) venus de partout pour contempler l’étrange chose. Il faut voir dans ce trait d’époque la sacralisation du buzz…