Il faut
« Une restriction de la possession, pas de la propriété », dit un juge d’un décret-loi du gouvernement autonome d’Andalousie pour exproprier les banques, « si le besoin s’en fait sentir », parce que cette possibilité est temporaire – trois ans. Dans une région où 500 familles sont mises à la rue chaque jour par les établissements financiers, et sachant, petit a qu’entre 700.000 et un million d’appartements ou maisons appartenant à ces mêmes banques y sont vides, et, petit b que les banques qui expulsent ont été sauvées de la banqueroute et nationalisées par les pouvoirs publics, il faut convenir que ce besoin est partout et toujours…