
Septante ans et un retour aux sources

Paysage avec la chute d’Icare, Pierre Mertens, Seuil, 544 p., 25 euros.
À signaler aussi la parution récente de son essai intitulé Le don d’avoir été vivant (Paris, Écriture, 2009) où il évoque notamment quelques-uns de ses auteurs de chevet : Sciascia, Kundera, Lowry, Kafka, Cortázar et Pasolini, ainsi que Gottfried Benn (personnage central de son roman Les Éblouissements, prix Médicis 1987).
[2] Idem.
[3] Citation issue de l’interview de Pierre Mertens par Guy Duplat parue dans La Libre Belgique le 09 novembre 2009.